La Fondation Mozaïk a organisé le 29 novembre, le premier Sommet économique de l’inclusion au ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance.
Plus de 70 entreprises se sont mobilisées autour de l’événement et réunies pour lancer le « Pacte de l’inclusion économique » qui vise à garantir l’égalité de traitement à tous les talents, quelles que soient leurs origines sociales, culturelles et territoriales.
« Parce qu’il n’est plus tolérable de laisser sur le côté de la route des jeunes diplômés invisibles aux yeux des entreprises et des pouvoirs publics alors que les solutions existent. L’enjeu ne se résume pas à une quête de performances ou d’avantages concurrentiels. Il est aussi sociétal : une économie qui n’inclut pas, c’est une société qui exclut. La diversité est une réalité de notre pays. L’inclusion économique est un choix. Le choix de ceux qui, au sein des organisations privées comme publiques, veulent recruter et manager sans œillères. Le choix de ceux qui préfèrent le mouvement à l’inertie, l’action aux déclarations. » souligne Saïd Hammouche, président fondateur de la Fondation Mozaïk.
« Le Sommet de l’inclusion économique propose de prendre un temps d’avance et d’entraîner le plus grand nombre. Si la crise de la Covid-19 nous a appris une chose, c’est que des situations paraissant immuables peuvent changer. À condition d’en avoir la volonté et de s’en donner les moyens. »
Plusieurs thèmes ont été abordés au travers de 10 plénières et 13 ateliers :
- L’inclusion économique, accélérateur de performance et facteur de cohésion sociale ?
- Comment recruter au-delà du CV et investir dans les compétences ?
- Comment déployer une politique d’inclusion économique au niveau des territoires ?
- Comment recruter au-delà du CV et investir dans les compétences ?
- Le numérique, nouvel accélérateur ou nouveau levier de l’inclusion économique ?
Plus de 7 000 personnes ont participé à ce 1e Sommet de l’inclusion.
Les replays des rencontres sont disponibles sur le site de l’événement.
Osons l’inclusion !